bakhta à Bora-Bora
Les yeux marrons des vahinés magiques
Me rappellent tes yeux et leur douce tendresse
Les constellations, le ciel électrique,
Dessinent tes cheveux châtains avec délicatesse.
Je pose mon oreille contre un beau coquillage
Et j'entends ta voix, adorable et sereine...
Un speederman vert fait frémir les branchages,
Mais c'est avec toi, bakhtoune, que je me promène...
abdou, rêveur de tes yeux...